
Perturbateurs endocriniens en dermatologie : polémique de plus ou vrai sujet de préoccupation ?
Notre mode de vie “moderne” s’accompagne d’une utilisation croissante, et…

Dysséborrhée et acné : un nouvel enjeu pour le dermatologue
Ce symposium organisé par le Laboratoire Bioderma, à l’occasion des…

Le paysage des maladies bulleuses auto-immunes a-t-il changé ?
Les maladies bulleuses auto-immunes (MBAI) regroupent les maladies bulleuses jonctionnelles et les pemphigus. Certaines sont rares comme les pemphigoïdes des muqueuses (PM) et les pemphigus, d’autres de plus en plus fréquentes comme la pemphigoïde bulleuse (PB). Toutes sont source de défis passionnants pour le dermatologue heureusement soutenus par une recherche clinique et fondamentale très dynamique.
Ainsi, en matière diagnostique, la démarche se fonde toujours sur une analyse clinique rigoureuse mais de mieux en mieux codifiée, complétée par des examens paracliniques en constante évolution.
En matière thérapeutique, l’éventail des possibilités s’est considérablement élargi ces dernières années, permettant des prises en charge plus efficaces, moins iatrogènes et mieux adaptées au profil particulier de chaque patient.

Psoriasis pustuleux palmoplantaire, ce psoriasis méconnu
Le psoriasis pustuleux palmoplantaire est une forme particulière, acrale et neutrophilique, du psoriasis. Il est caractérisé par des poussées subintrantes de pustules aseptiques des paumes et plantes. Il est associé à un rhumatisme psoriasique dans 25 % des cas, notamment thoracique antérieur dans le cadre d’un syndrome SAPHO.
Les traitements conventionnels reposent sur les topiques cortisonés d’activité très forte, la photothérapie et, en cas d’échec, sur les rétinoïdes ou la ciclosporine.

Les multiples facettes cutanées des lupus érythémateux
Environ 75 à 80 % des patients suivis pour un lupus érythémateux (LE) vont développer une atteinte cutanée au cours de la maladie. La reconnaissance des différentes atteintes du LE est essentielle car l’association avec une atteinte systémique, le risque cicatriciel, les pathologies associées (en particulier le syndrome des antiphospholipides) nécessitent des prises en charge spécifiques.
Dans cet article, nous décrirons les différentes atteintes cutanées spécifiques et non spécifiques du LE et détaillerons la prise en charge thérapeutique de ces patients.

Fiche de dermoscopie n° 10
Cas clinique Il s’agit d’un homme de 30 ans, de…

Lasers, EBDs et phototypes
Fitzpatrick [1] a proposé en 1975 une classification en 6…

Les perturbateurs endocriniens et leurs conséquences
Les perturbateurs endocriniens environnementaux, un sujet d’actualité Les publications scientifiques…

Actualités des photodermatoses
Les photodermatoses regroupent toutes les affections cutanées faisant intervenir le…

Maladies infectieuses vectorielles en France métropolitaine : intérêt pour le dermatologue
Les maladies infectieuses vectorielles sont des infections transmises par des…