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Dans le cadre des Journées Dermatologiques de Paris en décembre dernier, le laboratoire Abbvie a reçu trois intervenants afin de mettre en lumière les avancées récentes permises par les inhibiteurs de JAK dans la dermatite atopique modérée à sévère : le Dr Pierre-André Bécherel, dermatologue à Antony, le Dr Marie Tauber, dermatologue et allergologue au CHU Lyon-Sud, ainsi que le Pr Marie Jachiet, dermatologue à l’hôpital Saint-Louis à Paris.

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C’est dans le cadre des dernières Journées Dermatologiques de Paris que le laboratoire Almirall a organisé un symposium satellite sur le thème “Des dermatoses inflammatoires chroniques aux maladies rares de la peau : qu’attend-on de la prise en charge aujourd’hui ?” qui a réuni de nombreux dermatologues autour des Prs Christine Bodemer et Jean-David Bouaziz et du Dr Ziad Reguiaï. En voici les points forts.

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L’arrivée des anti-IL23 dans le traitement des psoriasis modérés à sévères constitue à la fois un saut conceptuel (prise en charge en ciblant une cytokine très précoce dans la pathogénèse) et une avancée thérapeutique avec des molécules très efficaces, dont l’effet se maintient sur le long terme avec une excellente tolérance. Ce symposium organisé par les Laboratoires Almirall a fait le point sur les nouvelles perspectives offertes par les anti-IL23 tant dans le psoriasis que dans le rhumatisme psoriasique (RPso).

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La fragilité unguéale se définit par l’impossibilité de porter des ongles longs. C’est une plainte très fréquente en consultation de pathologie unguéale, qui concerne surtout les femmes ménopausées. On estime que 20 % de la population en souffrirait à des degrés divers. Outre la gêne occasionnée, une douleur peut être associée.

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La main est fréquemment atteinte au cours des connectivites. Le dermatologue peut ainsi parfois, d’un simple “coup d’œil”, faire un diagnostic de connectivite, en particulier de dermatomyosite ou de sclérodermie systémique, en examinant les mains. Cet article va balayer les atteintes des mains au cours du lupus, de la dermatomyosite, de la sclérodermie systémique et finira par la prise en charge des calcinoses sous-cutanées qui touchent fréquemment les mains et sont très difficiles à traiter.

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Les pathologies unguéales sont variées et de diagnostic souvent difficile. Les symptômes sont peu nombreux et différentes affections peuvent avoir une même expression clinique.
La méconnaissance de certaines pathologies unguéales peut conduire soit à un retard diagnostique pouvant mettre en jeu le pronostic fonctionnel ou vital du patient, soit à la prescription de traitements inadaptés, longs, inefficaces et coûteux.

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La communication présentée lors de ces journées proposait un grand nombre de cas cliniques qu’il est bien sûr impossible de résumer dans un article de quelques pages. J’ai donc choisi très arbitrairement 4 situations cliniques qui me semblent à connaître.

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La dermatomyosite est la myopathie inflammatoire idiopathique la plus fréquente, bien que rare. La forme juvénile (DMJ) présente quelques particularités par rapport à la forme chez l’adulte.
L’incidence de la DMJ est difficile à évaluer, mais elle est estimée à 3,2 cas/million d’enfants/an [1]. Elle débute essentiellement chez les enfants entre 4 et 14 ans. La prévalence des formes cutanées pures, dites amyopathiques, n’est pas connue mais on estime que 25 % d’entre elles finissent par développer un jour une atteinte musculaire.

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