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La dermatomyosite est la myopathie inflammatoire idiopathique la plus fréquente, bien que rare. La forme juvénile (DMJ) présente quelques particularités par rapport à la forme chez l’adulte.
L’incidence de la DMJ est difficile à évaluer, mais elle est estimée à 3,2 cas/million d’enfants/an [1]. Elle débute essentiellement chez les enfants entre 4 et 14 ans. La prévalence des formes cutanées pures, dites amyopathiques, n’est pas connue mais on estime que 25 % d’entre elles finissent par développer un jour une atteinte musculaire.

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Il s’agit d’enfants dont la peau est particulièrement sensible non seulement au rayonnement solaire mais également aux rayons ultraviolets et qui doivent donc s’en protéger. Ils ne sortent que la nuit, d’où leur nom “les enfants de la lune”. La pathologie dont souffrent ces enfants a été appelée xeroderma pigmentosum par Kaposi en 1870 en raison de la xérose et des troubles pigmentaires observés chez les patients.

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Un processus cancéreux se développe suite à l’accumulation d’altérations génétiques qui conduisent à une prolifération cellulaire non contrôlée. Depuis de nombreuses décennies, la théorie des mutations somatiques (somatic mutation theory) est une des théories dominantes utilisées pour expliquer la cancérogenèse. Selon cette théorie, l’accumulation d’événements mutationnels génétiques touchant le génome d’une cellule normale unique induit des transformations cellulaires aboutissant à une cellule cancéreuse. La prolifération anormale de cette cellule cancéreuse conduit à l’émergence d’un clone tumoral. Les clones tumoraux peuvent ainsi conserver certaines caractéristiques morphologiques et fonctionnelles des cellules originelles, mais aussi en perdre ou en acquérir de nouvelles, ce qui aboutit à une variabilité du phénotype des sous-clones tumoraux.

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C’est dans le cadre des Journées Dermatologiques de Paris, en version 100 % virtuelle cette année du fait de l’épidémie à SARS-CoV-2, que les laboratoires Almirall ont organisé un symposium satellite sur le thème Contrôler le psoriasis en plaques : une réalité en 2020 ? auquel participaient les Prs François Aubin, Manuelle Viguier et le Dr Pierre-Dominique Ghislain.

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L’approche de la dermatite atopique (DA) se modifie à grande vitesse, tant au plan de sa conception que de sa prise en charge. Certes, la DA concerne l’enfant, mais également près de 4 % des adultes en Europe. Bien sûr, les lésions démangent, mais elles sont aussi douloureuses et impactent lourdement la qualité de vie. D’accord, l’activation de la voie Th2 domine le processus immunologique, mais d’autres profils cytokiniques sont observés. Quant au traitement, il se voit bouleversé par l’arrivée des nouvelles molécules pour les formes modérées à sévères. Le symposium des Laboratoires Lilly intitulé “Dermatite atopique, avancées (à) venir : la dermatite atopique à l’ère des nouveaux traitements systémiques” a exploré ces thèmes d’actualité lors des dernières JDP.

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C’est dans le cadre des dernières Journées Dermatologiques de Paris que les laboratoires Lilly ont organisé un symposium consacré aux différentes facettes de la maladie psoriasique. Placé sous la présidence du Pr Carle Paul, ce symposium a réuni le Pr Thierry Passeron (dermatologue), le Pr Pascal Richette (rhumatologue) et le Dr Philippe Nuss (psychiatre). Nous rapportons ici les points forts de leurs présentations.
De nombreux patients psoriasiques sont alexithymiques, c’est-à-dire qu’ils ont du mal à exprimer leurs émotions, bien que le retentissement de leur maladie soit énorme. Dans une étude récente, la moitié des patients psoriasiques rapportaient par exemple éviter le toucher, ce qui était corrélé à la sévérité de la maladie, au retentissement sur la qualité de vie et à la dépression [1]. La verbalisation du vécu des patients se fait sous différentes expressions : humiliation, stigmatisation, isolement social et affectif, perte de l’estime de soi, constante bataille entre le patient et sa peau pour ne pas montrer qu’il est malade.

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Le 6 décembre, au cours des dernières journées Dermatologiques de Paris, les laboratoires MAYOLY SPINDLER ont organisé un symposium satellite sur le thème Dermatite atopique, microbiote, probiotiques : quoi de neuf ? animé par les Prs F. Boralevi, F. Joly-Gomez et J. P. Lacour. En voici les principaux points forts.

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Le groupe de recherche sur le psoriasis de la Société française de dermatologie a publié cette année les premières recommandations françaises sur la prise en charge du psoriasis modéré à sévère [1, 2] avec l’objectif de proposer des algorithmes actualisés.
Lors d’un symposium organisé dans le cadre des dernières JDP, le Dr Florent Amatore a passé en revue plusieurs situations cliniques en précisant pour chacune d’elles la place du méthotrexate.

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Dans le cadre des dernières JDP, le Laboratoire dermatologique Bioderma a organisé un symposium satellite qui a permis de détailler la prise en charge des toxicités des traitements anticancéreux avec pour objectifs principaux d’apporter du confort au patient et de discuter de la poursuite ou non du traitement. Cette prise en charge peut être effectuée par le dermatologue de ville en lien avec l’oncologue.