- Examen clinique [15, 16]
- Technique des tests épicutanés [22-24]
- Allergènes potentiels [25]
- Les colles [30, 31] (fig. 4 et 5)
- Les agents tannants du cuir [13, 32-34] (fig. 6 à 11)
- Les teintures et colorants [13, 35] (fig. 12 à 14)
- Les matières plastiques
- Les biocides [36, 37]
- Le diméthylfumarate (DMF) [38] (fig. 15 et 16)
- Le nickel [35]
- Les thiourées [39-41] (fig. 17 et 18)
- Les allergènes inconnus [42, 43] (fig. 19)
- Recommandations [44]
- Batterie de tests à effectuer devant une suspicion d’eczéma de contact du pied
Cet article correspond à une mise au point actualisée, remaniée et enrichie d’un article du même auteur paru en 2010 : TENNSTEDT D. Quel bilan faire devant un eczéma des pieds ? Rev Franc Allergol, 2010 ; 50 : 244-247.
Bien que les DAC localisées au pied ne soient pas rares [1, 2], elles restent souvent un piège pour les cliniciens [3, 4]. L’âge moyen des patients se situe entre 15 et 45 ans. L’atteinte chez le jeune enfant est également très fréquente [5]. La transpiration, l’occlusion, la macération, jouent un rôle considérable, entraînant un relargage facilité des allergènes contenus dans les composants des chaussures.
Néanmoins, cette entité dermatologique lorsqu’elle se situe au dos du pied, est souvent méprise pour une trichophytie (fig. 1), une dermatite de friction ou une dermatite atopique. Sur la plante, elle est confondue avec un psoriasis, une dyshidrose, une autre dermatite vésiculo-pustuleuse [6]. Chez les jeunes, le diagnostic différentiel reste la dermatose plantaire juvénile [7]. L’atteinte est nettement plus fréquente chez la femme, probablement en lien avec l’industrie de la mode, incitant le port d’un plus grand nombre de souliers, incluant sandales, escarpins,[...]
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