- Les différents types d’hypnose : définitions
- 1. L’hypnose formelle
- 2. L’autohypnose
- 3. L’hypnose conversationnelle
- Quel crédit scientifique pour l’hypnose ?
- L’hypnose en dermatologie
- Prise en charge de la douleur
- Aide à la prise en charge de pathologies inflammatoires
- Intérêt de l’hypnose en oncodermatologie
- 1. Lors de la consultation d’annonce
- 2. Anxiété
- 3. Douleur
- 4. Altération de l’estime de soi
- 5. Effets secondaires des anticancéreux
- Conclusion
Il faut écarter toute représentation “d’hypnose spectacle” pour comprendre comment cet outil peut faire partie intégrante de l’exercice médical. L’hypnose bénéficie aujourd’hui d’un crédit scientifique qui lui permet de s’implanter dans les milieux hospitaliers. Plus qu’un outil ou une technique, l’hypnose modifie notre posture afin de permettre au patient de reprendre contact avec son corps et de retrouver son propre savoir, qui lui est inné… Elle agit sur la douleur et peut même la supprimer ; elle peut apaiser également tout symptôme comme l’anxiété, le prurit, sans la nécessité de le comprendre ou de l’interpréter.
“Redonner les manettes au patient”, tout en s’intégrant dans une démarche médicale, c’est ce que nous recherchons à travers l’hypnose, et il nous paraît intéressant de témoigner de notre expérience de l’hypnose en dermatologie.
Les différents types d’hypnose : définitions
L’hypnose est selon François Roustang “un état de veille paradoxale”, où l’on constate une immobilité du corps qui reste indifférent aux stimuli extérieurs mais qui contraste avec une activité cérébrale intense où le sujet est plus accessible à la suggestibilité [1].
1. L’hypnose formelle
Une séance d’hypnose formelle[...]
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