- Une épidémiologie en évolution
- 1. Une “épidémie” de pemphigoïdes bulleuses
- 2. Des pemphigoïdes des muqueuses mieux connues mais toujours sous-diagnostiquées
- 3. L’épidermolyse bulleuse acquise plus fréquente chez les patients à peau noire
- De nouveaux médicaments inducteurs
- Une standardisation des définitions et des scores de gravité
- La PB à P200, une nouvelle entité clinique et immunologique ?
- Nouveaux tests diagnostiques et outils de suivi
- Des avancées thérapeutiques de taille
- 1. La pemphigoïde bulleuse, vers des traitements adaptés aux comorbidités
- 2. Les PM, une amélioration dans le traitement des formes sévères
- 3. Les pemphigus, la fin des fortes doses de corticoïdes : une révolution
- Conclusion
Le paysage des maladies bulleuses auto-immunes (MBAI) s’est beaucoup modifié ces dernières années. Les immenses progrès de la recherche dans le domaine de l’immunologie ont abouti à des avancées importantes dans la compréhension de la physiopathologie, à la mise au point de nouveaux tests diagnostiques et ont permis l’utilisation de traitements innovants.
Alors même qu’il s’agit de maladies rares, le dynamisme du “groupe Bulle” de la Société Française de Dermatologie, des centres de référence maladies rares (CRMR) français pour les MBAI, de l’European Task force for Auto-Immune Bullous Diseases (AIBD) et de l’International Bullous Diseases Group, a permis de conduire des études épidémiologiques de qualité et des essais cliniques d’envergure. À cet égard, le rôle des CRMR français a été crucial.
Nous balayerons ici les plus grands bouleversements dans le domaine des MBAI ces dernières années.
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire