- L’individu qui se gratte est-il un malade ?
- Le soignant consulté est-il compétent ?
- Quel est l’impact de la pharmacie ? [3]
- Le patient est-il seul dans sa salle de bains ?
- À quoi correspondent toutes ces difficultés ?
- 1. Le pouvoir
- 2. Le vouloir
- 3. Le savoir
- Pourquoi tant de difficultés ?
- Comment faire ?
- 1. Le patient a toujours raison même quand il a tort (car ce sont ses raisons)
- 2. Apprendre est une réponse à une question
- 3. Le patient ne quittera ses préjugés que s’il se sent en sécurité
- 4. Il faut donner du sens à la maladie
- 5. Donner des explications rationnelles accessibles au patient
- 6. Il est nécessaire de disposer de temps et d’outils pédagogiques
- 7. Les outils pédagogiques
- Conclusion
Aborder le problème des obstacles au traitement de la dermatite atopique (DA) ne concerne pas uniquement les problèmes de la corticophobie et du coût des soins. D’autres obstacles plus subtils émaillent le parcours du patient. Un parcours standard commence par la prise de conscience de son problème de santé par l’individu. Puis, celui-ci consulte son médecin qui pose un diagnostic et propose un traitement, le plus souvent sous la forme d’une ordonnance. Le patient se rend à la pharmacie pour obtenir le traitement, il l’applique chez lui et, dans le meilleur des cas, le problème disparaît. Tout le monde est content. Sauf que, dans la dermatite atopique en particulier, cela ne se passe pas comme ça.
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