Actualités RESO

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Au cours des dernières années, des progrès considérables ont été réalisés dans la compréhension des voies inflammatoires impliquées dans la physiopathogénèse de la dermatite atopique.
À ce jour, deux biothérapies (le dupilumab et le tralokinumab) et trois inhibiteurs des Janus kinases (JAKi) (le baricitinib, l’upadacitinib et l’abrocitinib) ont une AMM et un remboursement pour le traitement des patients atteints de dermatite atopique modérée à sévère après échec ou contre-indication à la ciclosporine.

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Beaucoup ! L’arrivée des JAK inhibiteurs (JAKi) est porteuse d’espoir pour les formes sévères de pelade, difficiles à vivre comme à traiter. Une étude italienne n’indique-t-elle pas la persistance de plaques actives à long terme chez 1 patient sur 3 ayant 25 à 50 % du scalp atteint, avec pour 1/3 d’entre eux la menace d’une évolution vers une forme décalvante ou universelle ? [1]. Voici les repères actuels sur le baricitinib, anti-JAK1 et JAK2, dont l’étude est la plus avancée dans cette pathologie.