- Le contexte général de la chirurgie dermatologique, son environnement
- L’évolution organisationnelle
- L’évolution juridique
- L’évolution anesthésique
- L’évolution chirurgicale
- L’obligation sécuritaire
- La formation pratique des opérateurs
- L’organisation du cabinet
- Hygiène de base
- Hygiène des mains
- Port de gants
- Les masques
- Aménagement et entretien des locaux
- La trousse d’urgence
- Réglementation en vigueur concernant les déchets d’activité de soins
- Traitement du matériel réutilisable
- Conclusion
Quelle qu’elle soit, une intervention chirurgicale peut être à l’origine de complications qu’il faut savoir gérer. Ce n’est donc pas parce qu’une chirurgie est réalisée au cabinet qu’elle est forcément plus simple. Se former et former à la pratique de la chirurgie, c’est la mission qui concerne tout l’écosystème chirurgical et interventionnel dans le contexte de sa mutation actuelle et à venir, et dont le développement est incontournable.
Le contexte général de la chirurgie dermatologique, son environnement
Rappelons en préambule que la chirurgie dermatologique ne fait pas partie des treize spécialités chirurgicales, bien qu’elle soit reconnue par la HAS [1], par l’Institut national du cancer (INCa) et par l’Académie nationale de chirurgie (ANC) comme une pratique interventionnelle, au même titre, par exemple, que la radiologie interventionnelle.
Quel niveau d’environnement technique pour quel financement ? est une question essentielle qui se pose pour la chirurgie de cabinet.
Les cabinets médicaux ne sont pas définis réglementairement et ont un niveau d’environnement[...]
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire
