- Dermatoses paranéoplasiques obligatoires
- 1. Acanthosis nigricans paranéoplasique (fig. 1)
- 2. Acrokératose paranéoplasique de Bazex
- 3. Fasciite palmaire associée à des polyarthralgies
- 4. L’érythème nécrolytique migrateur
- 5. L’hypertrichose lanugineuse acquise
- 6. L’erythema gyratum repens
- 7. Le pemphigus paranéoplasique
- Dermatoses paranéoplasiques facultatives
- 1. La dermatomyosite (fig. 13 et 14)
- 2. Le prurit/prurigo paranéoplasique (fig. 15)
- 3. L’ichtyose acquise
- 4. Les dermatoses neutrophiliques
- Dermatoses paranéoplasiques controversées
- 1. Le syndrome des ongles jaunes (fig. 18)
- 2. Le syndrome de Léser-Trélat
Les DPN sont la conséquence indirecte de l’évolution d’un processus néoplasique interne. Curth a montré en 1996 qu’une dermatose paranéoplasique devait répondre aux critères suivants : survenue simultanée d’un cancer et d’une affection cutanée, évolution parallèle entre les deux (régression lors du traitement curatif du cancer, réapparition lors des rechutes), dermatose rare en population générale, association forte entre la tumeur et la DPN [1]. Leur fréquence est estimée entre 7 et 15 % des cancers diagnostiqués [2].
La taxinomie des DPN est difficile, plusieurs classifications ont été proposées : classifications anatomocliniques en fonction du type de lésion élémentaire, classifications pathogéniques en fonction du mécanisme (métabolique, hormonal, immunologique), classification chronologique suivant l’apparition de la dermatose par rapport au diagnostic du cancer. Nous avons choisi d’utiliser la classification probabiliste, plus en adéquation avec la[...]
Connectez-vous pour consulter l'article dans son intégralité.
Vous êtes abonné(e)
IDENTIFIEZ-VOUS
Pas encore abonné(e)
INSCRIVEZ-VOUS
Inscrivez-vous gratuitement et profitez de tous les sites du groupe Performances Médicales
S'inscrire