- Ce qu’il faut comprendre sur le plan anatomique et physiologique
- 1. Au niveau de la métaface et de la mésoface
- 2. Au niveau de la proface
- 3. Au niveau cervical
- Embellissement et rajeunissement du contour du visage
- 1. L’acide hyaluronique
- 2. La toxine botulique
- 3. Fils de suspension
- 4. Les autres techniques
- Conclusion
“Comment je traite l’ovale du visage” est l’un des thèmes des journées du gDEC 2018 les 22 et 23 novembre relayées par la revue Réalités Thérapeutiques dans ce numéro. La perte de l’harmonie de l’ovale du visage est une demande quotidienne dans notre pratique esthétique, que ce soit dans des indications d’embellissement ou des indications de rajeunissement. L’offre thérapeutique, qu’elle soit chirurgicale ou médicale, lui apporte de belles réponses.
La chirurgie est, à nos yeux, la technique reine. Retendre vient bien sûr immédiatement à l’esprit. Le lifting chirurgical (fig. 1) est bien plus performant que toute autre technique. Cependant, la patiente ou le patient n’est pas toujours prêt psychologiquement à la chirurgie. Même si un lifting est loin d’être un geste lourd. Il faut savoir que 80 % de nos liftings se font sous anesthésie locale pure avec, dans la plupart des cas, moins de 8 jours d’éviction sociale. Ils sont souvent beaucoup moins traumatisants que des gestes réputés plus légers comme les fils de suspension ou les lasers. Nos indications de lifting se posent dès qu’une ou un patient montre avec ses mains, devant le miroir, le geste du lifting en disant “C’est ce que je désire” ou “Ce serait bien si…”.
Cependant, dans la mesure où cet article est destiné à des praticiens non chirurgiens pour ces journées du gDEC, nous allons développer les approches non chirurgicales.
Les questions suivantes seront abordées : le lifting dit médical, c’est-à-dire non chirurgical, existe-t-il ? Est-il performant ? A-t-il une place aujourd’hui ? Peut-on redessiner un contour avec des techniques non invasives :
- Redessiner un contour avec de l’acide hyaluronique en[...]
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